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Voyage 2017

23 avril 2017

N'oubliez pas .

 

Noubliez-pas

Bonjour à toutes et tous, 

N’oubliez pas, on se retrouve pour la suite sur le »nouveau » blog : Marc en Corse.

 

 

 

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22 avril 2017

Et les blogs s'enchainent avec le voyageur ...

Bonjour, Hello, Namaste, Здравствуйте!, Hei, Hallo, Sveiki, Sveicināti, नमस्कार 

Un autre voyage approche, dans 1 semaine je serais sur le scooter sur la route pour rejoindre la Corse. 2 jours pour descendre avec un arrêt à Alés puis une autre nuit à Toulon avant d'embarquer sur le ferry le 1 mai au matin pour rejoindre l’ Ile Rousse.

Je vais passer quelques jours vers Saint Florent pour visiter le Cap corse puis je vais rejoindre pour 2 ou 3 jours un p’tit wwoofing, ben oui j’ai craqué et surtout trouvé une personne pour m’accueillir.

Ensuite au gré des campings, des visites et des rencontres je vais tourner autour et à l’intérieur de la Corse. Le 19 mai je reprends le ferry à partir de Bastia pour rejoindre Nice.

Nouvelle expérience que je partagerais sur le blog comme d’habitude, à bientôt à vous toutes et tous.

Le nouveau blog qui commence dés aujourd'hui se trouve ici :

 

 

22 avril 2017

Concentration maximum ...

Bonjour à toutes et tous, 

Bon c’est le dernier moment de réflexion avant d’aller déposer votre souhait demain dans l’urne …

Vous donner une consigne !!! Que nenni, non mais ! Mais de quel droit ;-)

Par contre vous donner un moment de détente, là : Yes, I totally agree my friends, let’s go.

 

 

21 avril 2017

Le chateau de Mme Michelin

Bonjour à toutes et tous,  

L’actualité récente et l’incendie qui a ravagé l’hostellerie Saint Martin à Pérignat m’a replongé dans mes souvenirs de petit village, le petit Pérignat d’ailleurs.
Il a fallu que je lise la presse pour savoir que Johnny Hallyday et l’équipe du PSG était venue au château, mes souvenirs ne sont pas les mêmes.

Pour les anciens de Pérignat on parle du château de Mme Michelin. Mme Marguerite-Marie Michelin épouse d’un fils d’ André Michelin a habitée au chateau jusqu'à sa mort en 1984.
Le 7 juillet 1943, elle fut arrêtée  pour avoir aidée des résistants et déportée au camp de Sarrebruck et de Ravensbrück.
 

Mme Michelin donnait un missel aux communiants du village pour leur communion solennelle. 

Pour Noël il y avait aussi une crèche dans la petite chapelle du château et je pense  que certains Pérignatois l’ont sûrement vu avant Noël ? 

Les parents d’un camarade étaient employés au château et avec la 2CV camionnette je me rappelle que M Daveri allait amener des œufs de l’élevage du chateau à la clinique des Neufs Soleil (clinique Michelin). 

L’allée du château remontée de la RN9 jusqu’au château, on parlait de l’allée Michelin. 

Sur la photo satellite j’ai entouré les maisons qui existaient déjà lorsque j’étais petit, c’est peu n’est ce pas et les 2 traits marrons, la RN9 et l’allée Michelin, les 2 seules goudronnées.
La derniére maison ( entourée) à droite est celle de mes parents, nous étions à la sortie du village !!!.

Le temps passe, je parle comme un vieux que je suis devenu et je m’en porte pas si mal ;-)

Perignat en 1960

20 avril 2017

La rencontre d’un saint ordinaire.

Namaste, 

Le petit texte de ce matin n’était pas là pour donner les larmes aux yeux et pourtant … mais au-delà des larmes qui coulent c’est la prise de conscience qui les accompagne qui est belle. 

Un peu dans le même esprit, je viens de recevoir ce texte de Matthieu Ricard.

Par Matthieu Ricard le 19 avril 2017.

On peut s’être dédié à des projets humanitaires pendant des années et pourtant recevoir avec gratitude une leçon d’humilité de ceux qui œuvrent au bien d’autrui avec une authenticité à toute épreuve. Gurmit Singh est l’un d’eux.

Ce que fait Gurmit n’est pas compliqué, mais demande un élan du cœur qui ne s’exprime pas chez la plupart d’entre nous, bien que nous en ayons tous le potentiel. Depuis près de vingt-cinq ans, à Patna au Bihar, tous les soirs, vers 9 heures, Gurmit Singh, après avoir fermé sa boutique de vêtements, se rend sur son scooter auprès des malades les plus démunis, les laissés-pour-compte des deux principaux hôpitaux de la capitale de la province la plus pauvre de l’Inde. On les appelle les « lawaris », les « abandonnés », car ils n’ont personne à qui demander de l’aide. Une salle commune leur est réservée, délabrée, sale et fétide.

Sur le chemin, Gurmit achète des repas chauds, des galettes, des légumes, des œufs, du yaourt, des douceurs pour nourrir ses protégés. Jusqu’à minuit passé, il apporte de la nourriture et du réconfort à ceux qui gisent souvent à même le sol en béton de deux grands hôpitaux de la ville, ou sur des banquettes rudimentaires, les lits décents étant occupés à 100 % par des patients plus aisés. Des infirmières passent deux fois par jour, et un maigre repas, à peine mangeable, est servi. Le reste du temps, les malades sont laissés à leur triste sort. Les rats courent partout et les mordent parfois. Mais quand Gurmit Singh arrive avec des provisions et nourrit souvent de sa main ceux qui sont dans l’incapacité de le faire, les sourires reviennent sur ces visages marqués par la souffrance.

Gurmit raconte le cas d’une femme très pauvre qui a été percutée par un train et a dû être amputée d’une jambe. Elle a aussi perdu une grande partie de sa mémoire. De plus elle est enceinte. Gurmit Singh a réussi à retrouver un membre de sa famille en affichant sa photo sur des réseaux sociaux. Gurmit achète également les médicaments que l’hôpital ne fournit pas gratuitement et que les patients n’ont pas les moyens de se procurer. Il donne régulièrement son sang et motive ses amis à faire de même.

Gurmit n’attend rien en retour de sa bienveillance et pourtant, par deux fois, les deux hôpitaux dans lesquels il se rend tous les jours lui en ont interdit l’accès. Un aveuglement à peine imaginable, dû peut-être au sentiment de culpabilité de ceux qui dirigent les hôpitaux comme des entreprises commerciales et craignent pour leur réputation. Ceux-là ne souhaitent pas qu’il leur soit rappelé tous les jours que la bonté doit passer avant toute autre considération. À chaque fois, Gurmit a réussi à faire intervenir quelqu’un pour qu’il puisse continuer son œuvre.

La plus grande inquiétude de Gurmit est de manquer l’une de ses visites journalières. « Qui va s’occuper d’eux, si je m’absente ? » De fait, il n’est pas parti en vacances et n’a pas quitté Patna depuis treize ans, de peur d’abandonner les abandonnés. Sauf à une occasion, quand la communauté Sikh l’a honoré pour son dévouement.

Pour payer les dépenses, Gurmit et ses cinq frères, qui habitent des logements modestes dans le même immeuble, mettent 10 % de leurs revenus dans une boîte de dons. Dans la famille, on a remplacé les fêtes et les cadeaux d’anniversaire par une contribution à la cagnotte.

Le déclic s’est produit il y a 23 ans quand une femme qui survivait en vendant des sacs en plastique de porte à porte est arrivée en pleurs dans son magasin avec dans les bras son petit garçon gravement brûlé. Gurmit les a emmenés à l’hôpital pour constater que les médecins étaient en grève. Indigné, il s’est arrangé pour que l’enfant reçoive les premiers soins, puis a décidé de revenir s’occuper d’autres personnes négligées par l’hôpital et par la société.

C’est sans doute cette « banalité du bien », cette « aveuglante proximité » de la bonté incarnée par Gurmit Singh qui nous touche et nous émeut le plus. On y découvre le bien à l’état pur, sans aucune affectation ou prétention.

On pourrait arguer qu’en vingt-cinq ans, Gurmit Singh aurait pu mobiliser ses concitoyens et étendre son action à 10, voire 100 hôpitaux. C’est ce qu’essaient de faire des ONG comme la nôtre, Karuna-Shechen, qui aide trois cent mille personnes chaque année, dans les domaines de la santé, de l’éducation et des services sociaux. Nous avons sur le terrain des personnes admirables. Mais nous avons tous besoin d’exemples capables d’inspirer nos vies, de modèles qui incarnent la bonté dans sa forme la plus nue et la plus essentielle. La qualité n’est pas une affaire de quantité. Rien ne saurait remplacer les Gurmit Singh pour éclairer notre chemin et raviver notre confiance dans la nature humaine.

J’ai personnellement consacré cinq années de travail à essayer de démontrer, dans un livre de 800 pages, que l’altruisme véritable existait, que nous pouvions le cultiver, et que la poursuite d’un bonheur égoïste était vouée à l’échec. Gurmit Singh dit tout cela en quelques mots : « Le bonheur, c’est aider les autres. » Quelqu’un avait déjà écrit : « Tous ceux que j’ai connus pour être vraiment heureux avaient appris comment servir les autres. » C’était Albert Schweitzer. N’est pas prix Nobel qui veut, mais nous pouvons tous être un Gurmit Singh. Il suffit d’ouvrir notre cœur tout grand.

Gurmit%20Singh%20et%20Mat

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20 avril 2017

Les yeux de l'amour.

Bonjour à toutes et tous, 

Je ne sais plus trop pour quelle occasion ou j’écrivais que je me sentais « si petit devant … ». Hier j’ai encore ressenti cela, bousculé dans mon intérieur, presque effondré, sans voix, bouche béé …

Le pourquoi ? Ce texte qui suit :

 

Les yeux de l'amour. 

Un adolescent vivait seul avec sa mère et ils avaient une relation privilégiée. Bien que le fils passe toutes ses parties de football assis sur le banc, sa mère était toujours dans les estrades pour l'encourager. Elle ne manquait jamais une partie.

Au début du secondaire, il était encore le plus petit de sa classe et sa mère, tout en continuant à l'encourager lui fit comprendre qu'il n'était pas obligé de jouer au football s'il ne voulait plus jouer. Mais comme il adorait le football, il décida de continuer.

Il était bien décidé à faire de son mieux à toutes les pratiques et espérait qu'on finirait peut-être par le laisser jouer un peu plus tard.

Tout au long de son secondaire, il n'a jamais manqué une seule pratique ou partie, mais dû se contenter de réchauffer le banc. Fidèlement, sa mère était toujours dans les estrades et avait  toujours des mots d'encouragement pour lui.

Lorsqu'il fit son entrée au collège, il décida de tenter sa chance aux essais afin d'être accepté comme recrue. Tout le monde était certain qu'il ne serait jamais accepté, mais il réussit. L'entraîneur admit qu'il le gardait sur la liste parce qu'il participait de tout coeur à chaque pratique, ce qui, par le fait même, avait un effet motivateur sur ses coéquipiers. Lorsqu'il apprit qu'il avait été accepté, il fut si content qu'il courut au téléphone le plus près pour l'annoncer à sa mère.

Elle partageait son enthousiasme et reçut des billets de saison pour toutes les parties de l'équipe du collège. Ce jeune athlète tenace ne rata aucune pratique au cours de ces quatre années, mais ne fut jamais appelé à jouer dans un seul match.

C'était maintenant la fin de la saison de football junior et comme il arrivait sur le terrain en courant, quelque temps avant le grand match des éliminatoires, l'entraîneur vint à sa rencontre, un télégramme à la main. Le jeune homme lut le télégramme et devint silencieux. Une grosse boule lui nouait la gorge lorsqu'il annonça à son entraîneur:

" Ma mère est décédée ce matin. Est-ce que je peux manquer la pratique aujourd'hui? "

L'entraîneur pose doucement son bras autour de ses épaules et lui dit: " Prends congé pour le reste de la semaine, fiston. En fait, tu n'as même pas besoin de revenir pour la partie samedi prochain. "

Le samedi suivant, la partie ne se déroulait pas bien du tout. Au troisième quart, alors que l'équipe traînait de l'arrière par 10 points, un jeune homme silencieux se faufila dans le vestiaire et revêtit son équipement. Lorsqu'ils le virent arrivant en courant, l'entraîneur et les coéquipiers furent abasourdis de le voir de retour si tôt.

" Entraîneur, s'il vous plaît, laissez-moi jouer. Je dois absolument jouer aujourd'hui. " lui dit-il. L'entraîneur fit semblant de ne pas l'avoir entendu. Il était hors de question qu'il fasse jouer son pire joueur pendant un match aussi crucial. Mais le jeune homme insista et finalement, ayant pitié de lui, l'entraîneur accepta. " Ok, tu peux y aller. " Quelques minutes plus tard, l'entraîneur, les coéquipiers et tous les spectateurs dans les estrades n'en croyaient pas leurs yeux. Ce jeune inconnu, qui n'avait jamais joué auparavant, faisait exactement tout ce qu'il fallait et correctement. L'équipe adverse n'arrivait pas à l'arrêter. Il courut, bloqua et plaqua comme une étoile. Dans les dernières minutes de jeu, il intercepta une passe et courut sans s'arrêter et marqua le point gagnant. Les spectateurs sautaient de joie.Ses coéquipiers, le portèrent sur leurs épaules.

Des applaudissements comme on en avait jamais eu. Finalement, une fois que les estrades furent vides, et que les joueurs eurent pris leur douche et quitté le vestiaire, l'entraîneur remarqua le jeune homme assis en silence dans un coin. Il lui dit: " Fiston, je n'arrive pas à y  croire. Tu as été fantastique. Dis-moi ce qui t'est arrivé? Comment as-tu fait? " Les yeux emplis de larmes, il regarda l'entraîneur et lui dit: " Vous savez que ma mère est décédée cette semaine, mais saviez-vous qu'elle était aveugle? " Il avala avec difficulté et s'efforça à sourire: " Ma mère est venue à toutes mes parties, mais aujourd'hui, c'était la première fois qu'elle pouvait me voir jouer et je voulais lui montrer que j'étais capable de bien jouer. "

Souviens-toi TOUJOURS DE CECI

Quelqu'un est très fier de toi.

Quelqu'un pense à toi.

Quelqu'un se fait du souci pour toi.

Quelqu'un s'ennuie de toi.

Quelqu'un veut te parler.

Quelqu'un veut être avec toi.

Quelqu'un espère que tu n'as pas de problèmes.

Quelqu'un espère que tout ira pour le mieux pour toi.

Quelqu'un désire que tu sois heureux.

Quelqu'un a très hâte de te voir.

Quelqu'un t'aime tel que tu es.

Quelqu'un est content de t'avoir comme ami.

Quelqu'un veut que tu saches qu'il sera toujours là pour toi.

Quelqu'un a besoin de ton soutien.

Quelqu'un a besoin de savoir que tu crois en lui.

Quelqu'un te fait confiance.

Quelqu'un se souvient de toi en entendant une chanson.

Tu es une personne importante!

Ne l'oublie jamais.

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19 avril 2017

Amies et amis du blog.

Bonjour amies et amis du blog, 

Quelques jours viennent de passer sans pensée sur le blog, pourtant c’est très souvent que j’en parcours au hasard de mon « humeur ». Je me demande parfois si je ne vous ennuie pas trop avec tout cela et puis la réponse arrive : si cela les ennuie ils ne liront pas, tout est un choix et le mien à l’instant est de partager cette pensée qui vient de me titiller.

Le bonheur on y revient souvent car bien sur nous y aspirons tous, chacun avec sa définition sûrement. La vie a ses méandres, l’herbe parait plus verte chez le voisin et pourtant.

La vie m’a montré qu’être là est déjà fabuleux … j’ai sûrement ce petit message à vous transmettre, non pas à vous convaincre mais seulement que la vie Est, tout simplement.

Le Népal n’a fait qu’enfoncer le clou, je repense et je revois souvent cet œuf que m’a préparé cette famille là-haut dans la montagne de Pokhara. Plus de maison, un taudis pour survivre, mais une famille avec un grand sourire parce qu’ils étaient toujours en vie après le terrible tremblement de terre de 2015.
 Je veux vivre encore le bonheur avec eux ….

 

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19 avril 2017

Annapurna Base Camp.

Bonjour à toutes et tous,  

Pour en finir (peut être …) avec les Annapurnas je voudrai vous montrer l'idée de mon prochain trek pour 2018. 

Ce trek est souvent appelé ABC par les trekkeurs pour Annapurna Base Camp.

Le camp de base des Annapurnas se trouve au centre du trek effectué l’an dernier avec Emilie et Julia. Avant de le rejoindre ou au retour j’irai sûrement aussi à Poon Hill qui domine à  3 193 mètres et où le lever de soleil sur les montagnes est soit disant à couper le souffle et je connais cela d’avoir le souffle coupé, hein … n’est ce pas ???

Voilà le tracé du trek, l'an dernier nous avions débuté sur la droite hors carte.

annapurna-base-camp-trekking-map

Le camp de base à 4 130 mètres qui permet l'accés aux Annapurnas.

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Poon Hill.
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18 avril 2017

Et .... il a fallu redescendre

Bonjour à toutes et tous, 

Comme je l'écrivais hier, Julia a continué seule le chemin vers Thorung Pass, un des cols les plus hauts à 5 416 mètres ….  Avec Emilie nous sommes redescendus par le même chemin, avec autant de plaisir, nous pensions beaucoup à Julia, nous allions nous retrouver à la ferme à Pokhara avant son départ pour l’Inde. 

De revoir avec vous ces photos, j’ai ouvert la carte de trek des Annapurnas à la maison et j’ai déjà choisit le prochain trek, celui du camp de base des Annapurnas qui est à 4 130 mètres.

 

Halte pour le repas de midi.

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Le meilleur team des Annapurnas !!!

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Le meilleur team des Annapurnas !!!

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Et toujours les memes à Gergovie .

EmJuMa à gergovie

17 avril 2017

Celle que tu crois

Hello, 

Dans 2 semaines je devrais être au guidon du scooter sur les routes de Corse. Vivre mes rêves, quoi de plus fabuleux que de s’offrir ses envies, ses désirs ….

Cette chanson d’I Muvrini me va bien, elle trace presque ma route pas celle qui m’attend en Corse mais celle qui m’a porté jusqu’à aujourd’hui.

Chanceux ? Croyez vous ? La Chance est un peu comme le bonheur, il faut parfois la provoquer et parfois seulement l’accepter.

 

 

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